Sucré-salé

Faut-il pleurer ? Faut-il en rire ? Je n'ai pas le coeur à le dire ... A vous, lecteurs, de réagir.
  • In veterinario veritas

    Il y avait une bonne nouvelle ... et nous n'en savions rien ! ... les fourrières non plus, d'ailleurs, selon toute apparence !!!

    (En fourrière), "l’euthanasie ne peut intervenir que si l’animal est considéré par un vétérinaire comme non adoptable, dangereux, ou trop malade.

    Ce n'est pas moi qui le dis, c'est le Ministère de l'Agriculture qui l'écrit !

    Ainsi, le surpeuplement d'une structure n'étant officiellement pas une cause d'euthanasie, reste à savoir pourquoi ça pique autant partout : est-ce l'éthique qui démange ou les vétérinaires qui s'en grattent ? 

    Pitbullsdead2

    source: http://agriculture.gouv.fr/animaux-errants

  • Les subtilités de la mathématique

     

    L'article L 211-24 du Code Rural dispose en son alinéa 2 :

    " Chaque fourrière doit avoir une capacité adaptée aux besoins de chacune des communes pour lesquelles elle assure le service d'accueil des animaux en application du présent code. La capacité de chaque fourrière est constatée par arrêté du maire de la commune où elle est installée."

     

    Vous l'avez compris, tout est question du moment auquel se situer pour évaluer ladite "capacité adaptée au besoins" : est-ce "avant" ou "après" l'euthanasie des chiens en surnombre ?

  • Les perles des petites annonces : le rott dans tous ses états

     

    Incroyable mais vrai !

    Pour vous, les amoureux du rott, ces quelques perles que nous vous livrons à l'état brut, dans toute leur authenticité, y compris orthographique ...

     

    " Vends rott Royal" 

     

    "Donne contre bons soins type rott de 5 ans, test de comportement réalisé par un véto, ok, appartient pas aux catégories 1 ou 2 (ne nécessite pas de permis)"

     

    "Rottweiler de 8 mois, mal non lof, pucelé et vacciné , tatoué , non"

     

    "Rottweiler mâle, pour saillie, non lof (par choix)"

     

    "Chien de tipe rottweiler , chien pas encore inscrit au loft , je le vends 300 € acheté il y a 4 ans 1500 €"

     

    "Vends femelle, test comportementale reussi avec succès classée dans la catégorie1 (chiens plus mignons)"

     

    "Donne adorable rott de 4 ans robe noir et blanc"

     

    "Rott adulte pour maître chien, rott de 10 ans ,60 kg , gros mordant et formé à la muselière de frappe. Vends uniquement maitre chien expérimenté et diplomé"

     

    "Chiot de race non lofté ou chiot non lof mais pure race"

     

    Enfin, découverte parmi les "rott veiler" , "rootweiler", "rotweiler" , et autres fantaisies scripturales, voici la "perle noire" : "ROTTVEILLEUR"

  • Fiction - Dans une chaumière de l'hexagone, un soir d'été ... entre l'anniversaire de la prise de la Bastille et celui de l'abolition des privilèges

    1er acte : Les familles Kruche, Branck et Kiche organisent une petite soirée entre amis. Vers 23 heures, la fête bat son plein. Eclats de voies, rires, cris et musique. Les enfants, quant à eux, n’ont plus faim, et ils commencent à s’ennuyer fermement. Leur désoeuvrement les conduit tout naturellement vers « le chien ». Le chien, c’est Médor, tout fraîchement sorti d’un refuge et qui trône à hauteur de leurs têtes sur le canapé du salon. Les Kiche ont mis un point d’honneur à le mêler aux festivités : après tout, il fait partie de la famille, oui ou non ? A ce stade de la soirée, Médor a déjà fait le plein de décibels. Il en a encaissé deux à trois fois plus que les Kruche, les Branck et les Kiche réunis. Mais les Kruche, les Branck et les Kiche ne savent pas que la sensibilité auditive de Médor n’est pas la même que la leur, car ça, le refuge ne l’a pas dit et ils ne savent que ce que le refuge a dit. Alors, tant pis pour le système nerveux de Médor, qui tente de se réfugier dans le sommeil au milieu du vacarme ambiant. Autant dire qu’il n’est pas d’humeur au jeu et que les sollicitations des enfants l’indisposent grandement. Il prévient en grognant. Peine perdue. Personne n’y prête attention. Les Kruche, les Branck et les Kiche ont mieux à faire que de se pencher sur les états d’âme du cabot. Les enfants ont l’air de bien s’amuser avec lui, c’est l’essentiel. Les enfants, personne ne leur a appris à se méfier d’un chien qui grogne, alors ils continuent d’importuner Médor. Et Médor finit par mordre… Fin de la fête pour les Kruche, les Branck et les Kiche.

    2ème acte : Les médias s’emparent du fait divers et le servent généreusement à toutes les sauces. Abondamment encouragée à s’émouvoir de ce nouveau « drame » impliquant un chien, l'opinion publique s’émeut. Elle a raison. Mais il faudrait commencer à s’émouvoir « utile », en pointant du doigt la stupidité et l’insondable ignorance de tous ces gens qui prennent un chien en charge alors qu’ils en sont parfaitement incapables, et ce pour une raison très simple : ils n’ont pas la moindre idée de ce qu’est un chien.

    3ème acte : Le pseudo-débat autour des « causes » du drame » et de ses « responsables ». Il est des « causes » et des « responsabilités » qui semblent aussi évidentes que déterminantes dans la survenance d’un tel accident: défaut de surveillance, à la fois des enfants et du chien, de la part des adultes présents, grave carence d’éducation parentale dans les comportements à tenir face à un chien. Dommage, ce n’est pas cet éclairage que les médias choisissent pour évoquer l’affaire. Une fois de plus, elles ont raté le rendez-vous de l’information pour celui du sensationnel. Sans surprise !

    4ème acte : Le sort du chien : il est déjà scellé, Médor sera euthanasié. Rien de très surprenant. Les dieux ont soif. Médor ne sera ni le premier ni le dernier chien à être sacrifié sur l'autel de l'obscurantisme. Plus étonnant : avant d’être euthanasié, Médor va être soumis à un test de comportement… aux fins de déterminer s’il est ou non dangereux !?

     

    L’arbitraire a encore de beaux jours devant lui et la bêtise prend parfois des allures de privilège.

  • Le collier de perles de Madame Alliot-Marie

    Loi du 20 Juin 2008 - Débats parlementaires- Compte rendu de la séance du 12 Juin 2008


    Observation de Monsieur le Sénateur Dominique BRAYE : "93 % des morsures recensées et plus de 75 % des accidents mortels répertoriés sont le fait de chiens qui n’appartiennent pas aux catégories définies par la loi de 1999. Pourtant, c’est bien sur ces dernières que le présent projet de loi concentre l’essentiel de ses dispositions. En clair, nous nous apprêtons à adopter des mesures qui concerneront seulement 2 % de la population canine !"

    Réponse de Madame le Ministre Alliot-Marie : 

    " (...) je souhaite rappeler un élément sur la question des catégories de chiens. Les chiens d’attaque et de défense restent les plus dangereux, puisqu’ils sont dressés à cela.  (NDLR : voici donc pourquoi le rott ou le staff est "catégorisé" dès qu'il sort du ventre de sa mère  : parce qu'il est dressé à l'attaque et à la défense. Le dressage a eu lieu "in utero")    

    Bien entendu, cela ne signifie pas qu’ils sont tous dangereux, (NDLR : Madame Alliot-Marie évoque ici ceux pour lesquels le dressage "in utero" s'est révélé inopérant)  

    ni qu’il n’y a pas de chiens dangereux parmi les autres catégories". (NDLR : les "autres catégories" sont encore à inventer, Madame Le Ministre !) 

  • LE MANUEL du parfait mauvais maître de chien catégorisé

    LE MANUEL DU PARFAIT MAUVAIS MAÎTRE 


    A l'usage de tous ceux qui caressent le doux projet de devenir propriétaire d'un chien catégorisé mais qui ne savent pas encore tout ce qu'il faut faire pour s'assurer de compter parmi les plus mauvais maîtres.

    1ère étape : Partir en quête d'un chiot

    Il est fortement conseillé de privilégier un chiot à un sujet adulte, et ce pour deux raisons au moins. Tout d'abord, parce que plus le chien est vieux, plus son entretien est coûteux. Or, l'objectif de l'opération est de réaliser des économies, voire de gagner de l'argent, en aucun cas d'en perdre.

    Par ailleurs, choisir un chien adulte, c'est courir le risque non négligeable qu'il soit déjà parfaitement éduqué et sociabilisé. Avec un chiot, en revanche, on peut laisser libre cours à son imagination et à sa créativité, exercer toutes les facettes de son incompétente, voire même innover en découvrant de nouveaux moyens de rendre son animal parfaitement ingérable en le moins de temps possible (sur ce point, inutile de se voiler la face : le challenge est de taille car la concurrence est lourde et les performances actuelles affichent déjà un très haut niveau) 

    Le chiot en général est un produit aussi couru que courant. Sur les sites d'annonces internet, on trouve les chiots des races catégorisées sous les mots-clés "bébé", "nounours" ou "peluche". Pour faire son marché, la meilleure période est sans conteste la fin de l'année : les particuliers qui s'improvisent éleveurs, les professionnels impénitents et les simples occasionnels se bousculent alors pour proposer le chiot de Noël, livré à domicile, au pied du sapin, emballage et frais de port inclus. C'est l'embarras du choix. Revers de la médaille : les tarifs sont ceux du "cadeau".

    Pour emporter la "bonne affaire", il faut savoir s'armer de patience et attendre les soldes de janvier, ou, mieux encore, se réserver pour la grande braderie des "invendus" de février.
    Certes le chiot a déjà 4 ou 5 mois mois d'âge. Mais avec un peu de chance, aucun travail n'a été réalisé sur lui. Sous réserve de persévérer soigneusement dans la même voie, on peut alors escompter un loupé final des plus honorable.

    L'approche des congés scolaires d'été reste également une période très propice aux "bonnes affaires" : parmi les invendus, on trouve alors des "fins de série" tout à fait intéressantes, des chiots de 7/8 mois issus des stocks résiduels de Noël. Il ne faut surtout pas perdre son temps à se demander pourquoi ils ont traversé la période des soldes sans trouver preneurs. Il faut juste savoir que c'est le moment de casser littéralement les prix. Les parents qui n'ont pas de projet de vacances peuvent ainsi offrir à leur progéniture de quoi s'occuper pendant les trois mois d'été. Sans compter l'incomparable satisfaction - à partager avec voisins et amis, autour d'un barbecue - d'avoir acheté un chien catégorisé pour une poignée de pain. 

    En revanche, au niveau du rapport qualité/prix, il faut savoir être raisonnable et modérer ses exigences quant aux menus détails, genre la provenance, la santé et/ou les papiers du chiot. On ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre !!!

    2 ème étape: La sociabilisation et l’éducation du chien catégorisé :

    Notoirement, le chien est un animal intelligent. Il s'éduque donc tout seul. Nul besoin d'un éducateur canin pour lui apprendre ce qu'il sait déjà en naissant.
    Si, par extraordinaire, sa science infuse s'avérait défaillante, la supérieure intelligence de l'humain qui est son maître palliera sans difficulté ce mineur inconvénient.

    L'essentiel étant de ne pas perdre de vue que :

    - Moins le chien rencontre de congénères et d’humains, moins il est exposé aux bruits divers (pétards, voitures, cyclomoteurs, tondeuses, aspirateurs etc.…) mieux ce sera pour tout le monde. En effet, le chien trouve plus rapidement son équilibre dans le fond d'un jardin dont il ne sort jamais et le maître s'évite ainsi autant de va-et-vient inutiles. En outre, le chien devient ainsi rapidement un très bon gardien, pouvant même pousser l'excellence jusqu'à agresser des proches de la famille, voire ses propres maîtres. Il n'y a donc pas à hésiter : l'accident est garanti ;

    - Le chien sait tout naturellement ce qu'il a à faire pour ne pas indisposer son maître et lui faciliter la vie. Notamment, s'il ne sort que 3 minutes par jour, il sait qu'il doit en profiter pour faire tous ses besoins de la journée. Par contre, si l'on souhaite passer de 3 à 2 minutes, il est impératif de prévenir le chien, de manière à ce qu'il puisse prendre ses dispositions ;

    - L'obéissance aux ordres de bases "assis, "couché", "au pied", "pas bouger", "pas toucher" est également innée chez le chien. Dès qu'il vient au monde, le chiot est donc immédiatement prêt à obtempérer à tous les ordres susdits. Un chien qui n'en est pas capable est un sujet génétiquement mal programmé. C'est ce qu'on appelle un "accident de la nature". Le vrai mauvais maître doit alors se faire fort de pratiquer un "copier-coller" à partir d'un chien "normal", présent dans son entourage. En cas d'échec de la manipulation, l'animal défectueux doit évidemment être échangé contre un produit conforme. Il faut savoir que, dans ce cas, malheureusement, le sort a tendance à s'acharner. Il ressort en effet des annales de certaines associations de protection animale que trois, voire cinq ou six échanges successifs ne suffisent pas.  C'est ce qu'on appelle "la loi des séries". Le mauvais maître aura bien sûr à coeur de persévérer jusqu'à obtenir enfin la délivrance d'un chien conforme, c'est à dire dire convenablement programmé ;

    - N'importe quel chien "bien né" sait aussi aller chercher le journal et les croissants du matin. Toutefois, pour vérifier le rendu de la monnaie, il nécessite un apprentissage spécifique. C'est là, et seulement là, que réside l'intérêt de l'éducateur canin ;   

    - De par sa taille et sa force, le chien catégorisé présente l'avantage de la polyvalence. Par exemple, les enfants peuvent s'en servir de poney. Par contre, il faut penser à le changer tous les cinq ans si l'on veut conserver une monture fiable et de qualité ;  

    - Légalement, il est interdit de brutaliser son chien, sous peine de sanctions pénales. Néanmoins, sachant qu'il demeure moins risqué de frapper son chien que sa femme, son voisin, ses enfants ou son chef de service, le mauvais maître s'en tiendra à sa devise "pas vu, pas pris" et ne manquera pas une occasion de défouler sur son chien son agressivité refoulée.

    3 ème étape : L'entretien du chien catégorisé

    D'une manière générale, un chien n'a pas besoin de grand-chose. Le maître-mot est donc : "pas de dépenses superflues". Après tout, ce n‘est qu‘une bête !!!

    C'est pourquoi décider d'accueillir un chien, fût-il catégorisé, ne nécessite aucune réflexion préalable. En parfait consommateur qui se respecte, le mauvais maître aura pour seul souci de céder à l'attrait du produit et à la jouissance notoire que procure la satisfaction instantanée de la pulsion du moment.

    Pareillement, le mauvais maître s'interdira rigoureusement de se "prendre la tête" à envisager les conséquences de sa décision, en terme d'obligations, responsabilités et autres implications financières, toutes balivernes qu'il aura soin de balayer d'un revers de neurone.

    Globalement, le mauvais maître suivra à la lettre l'esprit de la recommandation renouvelée chaque année aux bons consommateurs par les bons vendeurs d'irresponsabilité : "Partez en vacances, vous paierez après."

    Dans la même optique, le mauvais maître se spécialisera dans l'art de mentir aux associations de protection animale, ce qui lui consentira d'obtenir quelques subsides quand il sera en proie aux douloureux revers de l'existence (retour de vacances, lendemains des agapes de Noël, remplacement du 4 X 4, achat du home-cinéma, etc ...).             

    Quelques autres conseils de base :

    - Eviter de servir des croquettes onéreuses. Le bas de gamme est largement suffisant. Le chien ne s'en plaindra pas. Il ne fera la différence que s'il a goûté à une alimentation de qualité supérieure. C'est pourquoi la règle d'or est de ne jamais commencer à lui en servir ;

    - Evitez les soins, qui ne servent qu’à enrichir les vétérinaires. Le chien catégorisé est robuste. S'il s'agit de le bichonner comme un chien-toy souffreteux où est le bénéfice d'avoir opté pour un molosse ?

    4 éme étape : La mise en règle du chien catégorisé

    Attestation de formation, permis de détention, évaluation comportementale, muselière/laisse, vaccination, stérilisation et assurance sont autant d'obligations qui ne concernent que ceux qui ont envie d'être concernés. "Pas vu, pas pris" : telle doit rester la courageuse devise du mauvais maître. 

    5 ème étape : Le retour sur investissement ou comment rentabiliser un chien catégorisé

    Sauf à vouloir tomber stupidement dans l'oeuvre de bienfaisance, le propriétaire d'un chien catégorisé doit savoir faire fructifier son "capital".

    Le meilleur moyen reste la reproduction. Une portée par an permet à elle seule de couvrir les frais d'entretien. Au-delà, c'est tout bénéfice. 

    Vendre les chiots sans aucune garantie, ni papiers, c’est un minimum obligatoire. Il ne faut surtout pas culpabiliser pour ce genre de peccadille. Et encore moins s'inquiéter : à tout problème, sa solution. 

    En cas de chiots invendus, s'en référer aux précieuses informations ci-dessus (cf la 1ère étape : Partir en quête d'un chiot) 

    Si les invendus persistent et deviennent encombrants, la solution la moins pénalisante financièrement consiste alors à les écouler via les associations de protection animale. Pour parvenir à s'en débarrasser entre leurs mains, il suffit de gémir sans fléchir et de leur assurer avec conviction que ces pauvres "bébés" innocents vont subir la piqûre fatale si elles refusent de les recueillir dans les deux jours. Le succès est pratiquement garanti : si l'une résiste, l'autre cédera. 

    Place nette sera ainsi faite et, cerise sur le gâteau : sans bourse délier ! En même temps, après avoir fait tout le boulot, il ne manquerait plus qu’il faille aussi payer les associations qui passent derrière pour essuyer les plâtres. Elles sont là pour ça, non ?

    Autre chose : En cas de saisie ou d’euthanasie des chiots, pas de panique excessive. La justice pénale se fendra d'un couplet de morale et se contentera d'une amende symbolique. Les prisons sont pleines. Il n'y a pas de place entre leurs murs pour de minables trafiquants de chiens catégorisés. 

    Ultimes recommandations : - se débarrasser sans délai d'un chien devenu vieux et/ou malade, inapte à la reproduction. Les motifs "politiquement corrects" communément avancés à cette occasion sont pléthore : mon fils est allergique, je n'ai plus les moyens, ma femme est enceinte, je déménage, je suis malade, j’ai perdu mon job, le facteur a peur des chiens, le chat de ma belle-mère ne s'entend pas avec, etc... Un peu d'imagination et le tour est joué ! 

                                                  - avant de se débarrasser du boulet devenu inutile, surtout, ne pas oublier de conserver un chiot, lequel assurera la poursuite de cette petite entreprise lucrative qui consent, à peu d'efforts, d'arrondir joliment ses fins de mois.

    Cher lecteur, tu connais maintenant tout ce que tu voulais savoir, mais que tu n'avais jamais osé demander, sur la meilleure manière d'être le plus stupide, le plus odieux et le plus irresponsable propriétaire de chien catégorisé.

    A toi de décider de l'usage à en faire ...